C'est tout juste lorsque la 6e version du scénario est bouclé, que le vrai travail semble redémarrer. J'ai fait lire le scénario à des personnes "de l'industrie" du cinéma (producteurs pour la majorité d'entre eux), et les premiers retours que j'ai eus ont eu le bon goût d'être à la fois très détaillés et très argumentés. C'est une véritable mine d'or pour moi. J'ai beau ne pas être d'accord avec 100% des remarques qui sont faites au scénario, j'admets que la plupart d'entre elles sont fondées et pertinentes. Elles ouvrent la porte à de nouvelles réflexions, à la recherche de nouvelles idées et, au final, de nouvelles améliorations.
"L'objet" scénario devient de plus en plus obsédant, j'y pense le soir en me couchant et le matin en me réveillant ("pas seulement en me rasant" eût ajouté notre actuel président de la République).
L'obsession.
Et le travail.
Aurais-je trouvé les deux mamelles de la quête de qualité scénaristique ? C'est tout le mal que je souhaite au film.
De ce pas, j'y retourne.
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